The "domaine de Montclair" is located in the heart of Pommiers, a village of 2,500 inhabitants in the Beaujolais, a small region famous for wine making in the heart of the Rhône department, some thirty kilometres north of Lyon. The park at Montclair is a gem, it beautifully showcases the 19th century's fascination with gardens. At the time, a garden was not just a reception area, but also a peaceful retreat for the owners and a thriving wine estate!

Le domaine de Montclair se situe au coeur du village de Pommiers, un village de 2500 habitants au coeur du Beaujolais, dans le département du Rhône à une trentaine de kilomètres au nord de Lyon. Cette propriété construite au début du XIXème siècle fut achetée en 1883 par notre famille, les Mulsant. Le domaine de 6 hectares consiste de la batisse, d'un vignoble et d'un chais puisque nous sommes dans la région du beaujolais,d'un bois, d'un verger, et du parc. La propriété illustre la fascination du XIXe siècle pour les jardins, à l'époque, un jardin n'était pas seulement un lieu de réception, mais aussi une retraite paisible pour les propriétaires et le domaine de Montclair était une propréité viticole prospère !

Bienvenue au domaine de Montclair ! Vous êtes ici dans une propriété familiale. Après avoir été la demeure de la famille Humblot, de riches tanneurs de Villefranche élevés au rang d’échevins, puis au marquis de Lastic, cette propriété a été achetée par Marie et Benoît Mulsant en 1883. Les Mulsant étaient alors une famille d’industriels caladois dans le textile. Typique du XIXème siècle, le parc de Montclair donne à voir l’intérêt de cette époque pour les jardins : espace d'apparat et cadre familial, domaine agricole et lieu d'innovations. Depuis 2021, une association, les Amis de Montclair, permet l’ouverture du parc à la visite. L’association aide aussi à son entretien à travers des projets de restauration, comme celui de la serre qui est soutenue par la Fondation du Patrimoine et que vous verrez au cours de votre visite. Nous vous souhaitons une agréable promenade dans nos jardins !

Welcome to Montclair

Le domaine de Montclair

The Domaine de Montclair was the property of a family of notables, the Humblots, tanners and aldermen in Villefranche sur Saône. In 1880, a family of industrialists from Villefranche sur Saône acquired the estate as their summer residence. The park was designed by Mr Cordiaux, a landscape gardener in Ecully. It was designed in 1885, at the request of Mrs Marie Alégatière, wife Mulsant, great-grandmother of the current owner. In addition to the agricultural areas (vat room and vegetable garden), she created all the amenities she needed to welcome her family and organise receptions.

 Le dessin du parc est l’œuvre de M. Cordiaux, artisan paysagiste à Ecully. Il a été conçu en 1885, à la demande de Mme Marie Alégatière, épouse Mulsant, arrière grand-mère de l'actuel propriétaire. Elle y aménagera en plus des espaces agricoles ainsi que les agréments nécessaires pour recevoir sa famille et y organiser des réceptions.

Où pourquoi notre famille s'est installée ici

En suivant ce parcours, vous allez déambuler dans le parc de Montclair. Celui-ci a été entièrement redessiné par Marie Mulsant avec l’aide d’un paysagiste d’Ecully lorsqu’elle a acheté ce domaine avec son époux. L’histoire raconte qu’ils ont acheté cette maison sur les conseils de leur médecin de famille qui préconisant l’air de la campagne pour leur petit garçon, Georges, dont la santé leur donnait beaucoup de soucis. Comme la plupart des industriels de l’époque, les Mulsant habitaient alors à côté de leur usine, et donc à côté de la voie de chemin de fer de Villefranche-sur-Saône, dans le quartier de la quarantaine. Il faut imaginer les fumées noires qui s’échappaient à l’époque des locomotives à vapeur… A 6 km de Villefranche et en hauteur sur la colline, Pommiers était donc idéal pour l’asthme du petit Georges. La famille habitait toujours Villefranche, mais venait passer l’été à Pommiers. Le domaine de 6 hectares, partagés entre vigne, bois, prés et jardins devait répondre à 3 impératifs : Tout d’abord, c’était un domaine organisé autour d’une activité agricole : la viticulture (avec son cuvage, ses caves, sa maison du vigneron). C’était aussi le lieu de villégiature pour la famille Mulsant. Un lieu de jeux et de promenade. Aménagés pour mettre en valeur des points de vue, et des lieux de repos avec ses petits bancs en pierre disséminés à travers le parc. Enfin, c’était un lieu de réception pour recevoir les autres familles d’industriels caladois. Le domaine devait refléter l'élégance et la modernité en vogue dans les grandes propriétés de cette époque.

A quick overviw of the gardens 

Rendez-vous dans l'allée des tilleuls

Our vineyard is a small vineyard of 1.4 hectares of vines spread over 3 plots on the estate.

Notre vignoble est un petit vignoble de 1,4 hectares de vignes réparties sur 3 parcelles sur le domaine. Tous les ans, le 3ème jeudi du mois de novembre, on fête le beaujolais nouveau pour célébrer la sortie du nouveau millésime ! Cette fête vient d’une dérogation accordée aux vignerons pour commercialiser leurs vins d’appellation avant la date requise du 15 décembre. Mais même s’ils ne sont pas connus pour être des vins de garde, certains beaujolais doivent attendre un peu plus longtemps pour être appréciés.

The making of Beaujlais wine is a lenghty process.

Le Beaujolais est un vin qui bénéficie d'une AOP c'est à dire d'une appelllation d'origine controlée. 

The vineyard 

Une activité agricole pour faire vivre le domaine


Le vignoble

Boutasse, vous avez dit boutasse, qu'est ce qu'une boutasse?

Une boutasse est un mot régional typique du pays lyonnais. C'est une espèce de citerne à ciel ouvert et peu profonde, où s'amassent les eaux pluviales pour permettre d'arroser le jardins.

Il y a un photographe qui sommeille en vous!

The Boutasses

Les boutasses

Vous voilà face à l’orangerie et à sa grande porte vitrée. Passez donc le seuil et entrez dans cet abri de verre. Marie et Benoît Mulsant ont fait construire ce bâtiment en 1884, à leur arrivée à Montclair.Mais tout d’abord « orangerie » : pourquoi ce nom ? C’est parce qu’on y abritait les agrumes ainsi que les autres végétaux craignant le gel pendant l’hiver. La mode des orangeries date de la Renaissance et vient d’Italie. D’ailleurs, regardez autour de vous, la forme des portes et fenêtres rappelle celle des arcades des patios italiens. En France, l’orangerie la plus emblématique reste celle du château de Versailles, construite par Louis XIV. A sa suite tous les châteaux ont voulu se doter de la leur ! Cet engouement va durer jusqu’à la fin du XIXème siècle. L’architecte a ici respecté tous les codes d’une orangerie conçue selon les règles de l’art : orientée plein sud et dotée de vastes fenêtres, le bâtiment bénéfice l’hiver, lorsque le soleil est bas, de sa lumière et de sa chaleur. Tandis que l'été, lorsque le soleil est haut et à l'aplomb du bâtiment, son impact est limité. Ainsi, la température est maintenue à l'optimum en toute saison ! La pièce bénéficie d’une vaste hauteur sous plafond pour pouvoir y rentrer les plus grandes plantes en pot du jardin : les palmiers. Il y avait également un système de chauffage. Aujourd’hui, les tuyaux qui couraient sous les tables de culture pour chauffer la pièce ont été enlevés. Marie et Benoît ont voulu utiliser les matériaux de l’architecture de ce XIXème siècle empreint de modernité : le verre, le fer, la brique. Pour cette famille d’industriels, il s’agissait d’ailleurs des mêmes matériaux qu’on retrouvait pour la construction de leurs usines… On retrouvera les mêmes matériaux dans des sites prestigieux de la capitale : par exemple, le musée de l’Orangerie, construit pour abriter les orangers du jardin des Tuileries, ou, plus tard, le Grand et le Petit Palais, érigés pour l’exposition Universelle de 1900. Une autre source d’inspiration typique de l’époque vient des colonies : les grands voyageurs et botanistes de l’époque vont ramener des quatre coins du monde de nouveaux savoirs, de nouvelles modes, et surtout, de nouvelles plantes ! Comme les fameux palmiers emblématiques de Montclair, qui sont à l’époque une grande nouveauté dans nos régions. A sa construction, l’orangerie en abritait déjà. Mais il s’agissait alors d’une espèce aux feuilles dites pennées, formant de longues palmes, contrairement aux feuilles dites palmées, c’est-à-dire en forme de soleil des palmiers actuels du domaine. Le goût pour l’exotisme a été véhiculé jusque chez cette famille caladoise par les Expositions Universelles et les cartes postales. Il se retrouve ici dans les cache-pots et leurs supports. Ce sont des céramiques de Vallauris (en Provence), qui créent un décor d’inspiration coloniale, évoquant des territoires lointains et mélangeant des motifs très divers sans aucun souci d’authenticité, donnant l’image d’un Orient fantasmé. Pour Marie et Benoît, l’orangerie n’est pas un simple lieu de stockage des plantes. Emblème de la réussite, elle devient également un lieu d’exposition, une sorte de cabinet de curiosités végétal. C’est à la fois lieu de science par l’étude des plantes, et un lieu de plaisir. La construction de l’orangerie et de la serre que vous verrez un peu plus loin s’inscrit dans un plan plus global. En effet, Marie portera un soin particulier au parc dans son ensemble. Elle redessinera tous les jardins du domaine, créant des allées et des rotondes pour que le parc soit un lieu de promenade.

A beautiful room to keep the plants warm 

The Orangerie

Un cadre superbe pour conserver les plantes 

L'Orangerie

The first glasshouses appeared in the 18th century, these glass sanctuaries evolved, with blacksmiths and master glassmakers combining their talents to erect glass cathedrals where orchids rubbed shoulders with ficus. Every trip was an opportunity to bring back species from faraway lands and study them. Then, in the 19th century, the Industrial Revolution breathed new life was into the greenhouses.The revolution in materials gave rise to unprecedented growing spaces, where people defied the seasons and experimented with new species.

C’est au XIXème siècle que naquirent les premières serres en verres courbés avec le progrès sur le travail du verre et l'abandon de la taxe sur le verre. Les plus fortunés se lancent dans des constructions dans leurs jardins, certains créent de véritable cathédrales de verre où l'orchidée côtoyait le ficus. Chaque voyage était l’occasion de rapporter des espèces de lointaines contrées et de les étudier. Puis, le XIXe siècle avec la révolutions des matériaux insuffla une nouvelle vie aux serres et fit naître des espaces de culture inédits où l'on défiait les saisons et où l’on expérimentait de nouvelles espèces de plantes. Grâce à la mobilisation de la fondation du patrimoine notree serre, emblématique des grandes propriétés au XIXème siècle,retrouvera bientôt sa splendeur d'antan!

Entre le verger et l’ancien potager, cette serre, semi-enterrée, est le petit bijou du parc. Construite en 1884, elle a été entièrement restaurée en 2024. De l’extérieur, vous pouvez admirer ses verres, tous uniques, taillés en forme de goutte d’eau. Vous pouvez descendre les escaliers pour entrer dans la première pièce. Ici on faisait pousser des semis pour les massifs de fleurs ou le potager, comme en témoigne les centaines de godets en terre que vous pouvez voir. Un tuyau passe sous la table de culture pour chauffer la pièce, il était alimenté par une chaudière à charbon, placée à l’extérieur de la serre et qui a aujourd’hui était enlevée. D’autres tuyaux allaient même jusqu’à courir sous terre autour de la serre pour chauffer une partie du potager. Passez la deuxième porte : c’est dans cette pièce que l’eau de pluie est récupérée. Elle coule dans une rigole qui fait le tour de la serre jusqu’au bassin. Cette citerne fait office de réserve d’eau pour arroser les plantes. Mais aussi, elle maintient l’humidité dans la pièce et améliore l’inertie thermique de cette partie de la serre.Ainsi, en passant d’une pièce à l’autre, on passe d’un espace soumis aux variations de températures à un autre plus tempéré. Les deux pièces pouvaient donc servir à cultiver des plantes différentes. La serre est une petite prouesse de science et de technique. Ici, Marie et Benoît Mulsant ont voulu ce qu’il y avait de plus moderne et performant. La serre est un lieu de plaisir pour le visiteur, de travail pour le jardinier. C’est aussi un lieu d’expérience pour le bourgeois qui s’intéresse à la botanique.« C’est qu’ici le délassement et le plaisir des sens s’associent à la positivité scientifique qui les légitime : le bourgeois ne perd pas son temps avec les fleurs, il s’instruit. » Maryline Cettou, Jardins d'hiver et de papier Les serres étaient assez nombreuses au début du siècle à orner les parcs et les jardins dans la région lyonnaise. En effet, le climat incertain au printemps avec des coups de gel parfois tardifs et le développement important de la culture de la rose à Lyon avaient répandu et perfectionné les techniques de culture sous serre. Aujourd’hui, très peu nombreuses, elles sont le plus souvent détruites devant la pression immobilière et le coût de leur restauration.

A beautiful piece of industrial heritage 

The Greenhouse

un trésor de verre sauvegardé pour les générations futures 

La serre 

Viridarium was a term used to describe a place with greenery and shade among groves. In German, "gartel" originally referred to an enclosed and preserved space. The monks' gardens were havens of tranquillity, reminiscent of the customs of Greek philosophers, who traditionally debated under the shade of a tree, near a fountain or a body of water. Three cultural influences have been catalysts for the development of gardens and orchards. Firstly, the Christian influence, where the garden aims to recreate the original lost paradise.Then there was the love and reverence for nature that characterised the Germanic peoples. Finally, the Eastern influence played a significant role, and monastic gardens flourished under the impact of these various inspirations.

Le viridarium était le terme désignant un lieu où s'étalait la verdure, où s'étirait l'ombrage, parmi les bosquets. En allemand, le mot "gartel " éveillait dès l'origine l'image d'un enclos, un espace clôturé, préservé et séparé des vastes étendues. Pour les moines, leurs jardins représentaient des havres de tranquillité, évoquant les coutumes des philosophes grecs qui, de manière coutumière, débattaient sous l'ombre d'un arbre, près d'une fontaine ou d'un plan d'eau. Trois influences culturelles ont été des catalyseurs pour l'épanouissement des jardins et vergers. Tout d'abord, l'influence chrétienne, où le jardin aspire à recréer le paradis originel perdu. Ensuite, l'amour teinté de vénération envers la nature, caractéristique des peuplades germaniques. Enfin, l'influence orientale a joué un rôle significatif. Les jardins monastiques ont prospéré sous l'impact de ces diverses inspirations.

The Orchyard

Le Verger

Le bois de Montclair, des espèces variées

Nous sommes un lieu avec une biodiversité préservé! Nous avons la chance d'avoir une vingtaine d’espèces d’oiseaux recensés: merles, mésanges bleues, mésanges noires, loriot, sittelle torchepot, gros bec, corbeaux, pigeons, grives, geais, verdiers, moineaux, chardonnerets, étourneaux, des rougequeues, rouges-gorges, buses, coucou et enfin...la chouette Athéna qui est l'emblème de Pommiers!

Vous vous trouvez face à deux grands cèdres, à l’orée du bois.Si ces arbres nous sont familiers, c’est parce que nous les croisons souvent dans les parcs et jardins de l’hexagone. Après avoir été évincé d’Europe par les glaciations, le cèdre a été réintroduit en France au XVIIIe siècle. Chaque belle propriété se devait alors d’en avoir un ou plusieurs pour ornementer son parc. En effet, dès qu’ils mirent une racine en France, en 1734, les cèdres du Liban devinrent à la mode. C’est Bernard de Jussieu, conservateur du jardin royal, qui en ramène d’Angleterre : la légende raconte que, peu avant son arrivée au Jardin des Plantes, le pot se cassa et que les deux petits cèdres finirent leur voyage dans son chapeau. Arrivé à Paris, il les planta avec soin. L’un d’eux vit toujours au pied de la butte du grand labyrinthe dans le Jardin des plantes. Souvent pluriséculaire, le Cèdre du Liban est un conifère de grande taille, mesurant entre 20 et 40 mètres de haut. Les deux cèdres que vous voyez n’ont pas toujours eu cette allure. En effet, élancé dans sa jeunesse, le cèdre pousse vite durant ses premières années. Arrivé à l’âge adulte, vers 30 ans, sa cime s’aplatit et ses branches s’étalent beaucoup. Ce qui donne l’impression qu’elles sont disposées en étages ; on dit qu’il « fait la table ». Aussi loin que remontent les premiers récits épiques de l’humanité, le cèdre tient un rôle symbolique et est voué aux dieux. La noblesse de son port, son feuillage persistant, sa longévité, son bois odoriférant et imputrescible, ajoutés à son habitat de haute montagne, sont autant de qualités qui le prédisposaient à jouer ce rôle. Tout au long de l’histoire, le cèdre du Liban a été un matériau particulièrement prisé. Chez les Phéniciens et en Egypte antique, il a été utilisé dans la construction de navires, car le bois est réputé imputrescible. Il a aussi servi pour la construction de temples et de palais, car le bois dégage une odeur particulière qui repousse les insectes. Le temple de Salomon, à Jérusalem, aurait été construit en bois de cèdre et de cyprès. Mais les multiples qualités de son bois rougeâtre ont failli causer la disparition des cèdres. Aujourd’hui, à une époque où l’on se pose tant de questions sur les essences résilientes aux changements climatiques, et grâce à sa capacité à résister à des climats très chauds comme froids, le cèdre va, c’est certain, continuer à nous intéresser !

Nous avons aussi des chauves-souris, des écureuils et des hérissons!Nous vous invitons d'ailleurs à parfaire votre connaissance du hérisson dans notre quiz!

The wood 

Le bois 

The panoramic view 

Notre point de vue

Les siècles passent, la vue évolue et la mode change!

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The fountain

Fin de la promenade 

Thème nature

Hello and welcome to the Montclair estate!                
This 10-stage tour, created by the Mulsant family, takes you on a journey of discovery around their estate.
 You can stroll through the 6-hectare park, from the avenue of lime trees to the panoramic view over the Saône river. 

The interior of the château is closed to the public, unless you have decided to spend the night in our gîte! We hope you enjoy this self-guided tour around our estate. 

Follow the GPS points and listen to the audios to discover the history of the Mulsant family. 
Enjoy the tour!

The gardens of Montclair 

Bonjour et bienvenue au domaine de Montclair!      
Marie Mulsant vous accompagne dans les jardins qui ont bercé son enfance, qui de mieux que l'enfant des Jardins de Montclair pour vous raconter ces secrets et vous faire découvrir ses richesses!
Monumentales est ravie de vous offrir grâce à Marie ce parcours de 10 étapes à la découverte du domaine de la famille Mulsant. Vous pouvez accéder au parc de 6 hectares de l'allée de Tilleuls jusqu'au point de vue sur la Saône. L'intérieur du manoir est privé.
Suivez les points GPS sur l'application et retrouvez les nombreux points d'intérêts où vous pourrez prendre le temps d'apprécier les lieux. À chaque étape, vous pourrez écouter les audios ou lire la transcription en cliquant sur le pictogramme livre, ou encore faire les jeux qui vous sont proposés. Bonne balade!
